L’histoire
de Mascarin
Mascarin, engagée pour l’avenir
C’est en 1966 que l’entreprise Soraco voit le jour à Sainte-Suzanne. Son objectif ? Raffiner et conditionner le sucre blanc de La Réunion. En parallèle, dès le début des années 70, cette filiale de Quartier Français prend en charge le développement de la gamme de rhums Rivière-du-Mât, dont le groupe est propriétaire. Puis, en 1975, les premiers sirops sont obtenus à partir du sucre péi et s’imposent rapidement dans les foyers et dans l’imaginaire réunionnais. C’est en 1983 que la marque commerciale Mascarin voit le jour, regroupant sucres et sirops. Il faudra attendre plus de dix ans, plus précisément 1994, pour que la chocolaterie rejoigne l’aventure Mascarin et, très vite, s’installe au Port.
La marque devient alors si connue que le groupe décide de se l’approprier en 2000, Soraco est alors rebaptisé Mascarin. Une dizaine d’années plus tard, la gouvernance de Mascarin change : suite au rachat de Quartier Français par Téréos, Mascarin doit être cédée. En 2011, c’est Frédéric Auché, entouré de deux de ses managers, de Xavier Thieblin (l’ancien président de Quartier Français) et d’un fonds d’investissement (FINAREA), qui rachète alors l’entreprise et en devient le PDG. Il décide de diversifier la gamme de chocolats, dont il fait le fer de lance de l’entreprise pour communiquer et renforcer encore davantage l’ancrage territorial de Mascarin. Une nouvelle stratégie qui implique la création, en 2015, d’une nouvelle unité de fabrication et de conditionnement, à deux pas de l’ancienne usine, dans la ZAC 2000 du Port. Un an plus tard, la nouvelle dimension prise par Mascarin et la diversité de ses activités conduisent à son rachat par le groupe La Martiniquaise.
Au fil des décennies, Mascarin a toujours été un acteur économique majeur du territoire réunionnais. Aujourd’hui encore, cette entreprise réunionnaise perpétue le savoir-faire et le patrimoine péi. L’aventure Mascarin continue de s’écrire !